L’âme autochtone
Danse mon œil de cyclone
Sur ton grand vide infini
Fais tournoyer les cyclopes
Les squelettes de l’ennui…
Derrière ses grands yeux frimas
Se cache une âme autochtone
Une ruine où s’ingénient
Des sentiers de Compostelle
Des visages de Formose
Et de vieux corbeaux très las.
A l’ombre des ses soleils noirs
Sur ses grands champs d’Attila
Pousse la miséricorde
Et la blancheur du lilas…
Moi… quand je passe par là
Je brigande la pervenche
L’or des icônes bannis
La merci et la légende
Et les larmes de ma mie
jaime
Danse mon œil de cyclone
Sur ton grand vide infini
Fais tournoyer les cyclopes
Les squelettes de l’ennui…
Derrière ses grands yeux frimas
Se cache une âme autochtone
Une ruine où s’ingénient
Des sentiers de Compostelle
Des visages de Formose
Et de vieux corbeaux très las.
A l’ombre des ses soleils noirs
Sur ses grands champs d’Attila
Pousse la miséricorde
Et la blancheur du lilas…
Moi… quand je passe par là
Je brigande la pervenche
L’or des icônes bannis
La merci et la légende
Et les larmes de ma mie
jaime